Sur ce blog, nous évoquons régulièrement l’importance d’avoir un CRM. Mais certaines entreprises n’ont pas besoin de logiciel CRM. C’est votre cas si :

Vous avez du temps à perdre

Vous aimez passer des heures à chercher des informations sur vos clients (numéro de téléphone, état du dossier…) ?  Ne prenez pas de CRM, vous risqueriez de retrouver ces informations en deux clics. Cela serait vraiment dommage n’est-ce pas ?

Vous voulez décevoir vos clients

Vous aimez quand vos clients vous appellent pour se plaindre de votre manque de fiabilité ? En utilisant un CRM, vous prenez le risque de gérer le service client avec efficacité. Vous recevrez même des notifications (directement depuis le CRM ou par email) pour vous rappeler ce que vous avez à faire.

Vous ne voulez pas augmenter votre chiffre d’affaires

Si vous installez un CRM, certaines tâches seront automatisées, et  vos processus seront fluidifiés. In fine, le CRM permettra à vos commerciaux de passer plus de temps avec les clients, et moins de temps avec des tâches administratives. Un tel changement risque de vous aider à augmenter votre chiffre d’affaires.

Vous ne voulez pas savoir ce qui se passe dans l’entreprise

Grâce à des tableaux de bords et des rapports personnalisés et automatisés, un logiciel CRM vous permet de savoir exactement où en sont vos dossiers. Vous aurez ainsi une vue sur les devis en cours,  les clients sur le départ, les  prédictions de CA, le management des tâches et des évènements en cours etc.  Mais si vous pensez « à quoi bon avoir accès à ces variables en cours d’année ? C’est tellement mieux d’avoir la surprise lors de la clôture annuelle », vous n’êtes pas fait pour le CRM.

Vous n’apportez aucune importance aux données que vous collectez

Avec un CRM, vous pourrez organiser vos données et mieux les exploiter. Mais si vous aimez les fichiers clients décentralisés, inexploitables, et non sécurisés, ne prenez pas de logiciel CRM. Pour une gestion des données clients chaotiques, nous vous conseillons Excel (ou n’importe quel  autre tableur).

Les bonnes pratiques